La Fosse
ATTENTION
Ce texte contient des descriptions violentes et n'est pas conseillé aux gens d'esprit ou au coeur faible.
Ceci sont quelques pages d'un journal de bord trouvé et traduite dans les vestige d'un bateau de croisière des années 1920 environ. Son auteur reste inconnue.
[...] Dans une grande salle pavée de petites dalles blanches un peu comme on en retrouve dans les salles de bain, se trouvait en son centre, un énorme trou. Ce trou devait faire environ dans les 9m de diamètre à l’intérieur de la salle qui elle devait faire un bon 15m de large et de long. Mais ici s’arrête la félicité de cet endroit.
En ce qui concerne l’air respirable de la place, pestilentiel. Une odeur des plus insupportable flottait. Imaginez vous simplement la pire odeur jamais connue. Une odeur qui pénètre dans vos narines sans même avertir et qui ne passe ici pas vers les organes olfactifs mais qui descend directement vers l’œsophage et qui vient extirper votre estomac de son orbite habituelle. Cette odeur que votre nez ne sens pas mais que vos intestins semble repousser au point à vous les faire vomir.
Ce fut pour l’odeur, maintenant attaquons nous au visuel, le pire. Au dessus de cette fosse, se trouvait une dizaine de personne. Ils étaient tous chaqu’un d’eux attaché par les bras avec une sorte de liane qui poussait du plafond qui lui, était dénudé de tuile donc laissait voir de la terre dur et humide. Les gens qui étaient attachés en cercle, l’un en face de l’autre au dessus de la fosse pendaient à environ un mètre du sol.
Ils étaient tous nue. Leur peau pâle semblait morte mais il on pouvait malheureusement distinguer signe de vie chez ses personnes. Ils semblaient tous endormis ou semi conscient de leur états. Des tâches de matières fécales glissait entre leurs jambes et reluisait de l’humidité de l’urine qui coulait par coup. On pouvait aussi voir des excréments tomber des entrejambes de ses torturés.
De grands tubes de couleur noire formait une couette venant de l’autre coté de la fosse et se séparait en son centre pour s’enfoncer dans la gorge de chaqu’une des personnes. Des petits dispositifs mécaniques étaient placé juste autour de la bouche. Les tuyaux bougeaient comme si un produit crémeux qui glissait continuellement, était poussé dans les gorges. Il était fréquent de les organes de ces victimes ne pouvaient supporter cette surnutrition et les mécanismes se déclanchaient. Les boyaux se retiraient alors d’un coup sec et rapide. Les humains vomissaient une matière jaune caille dans la fosse. Il n’était pas rare de voir du sang suivre la bile de l’estomac vide après les spasmes de la gorge cherchant à extirper ce qu’il n’y avait plus dans les malades ventres de ses personnes. Ensuite, comme s’ils étaient vivants, les tubes remontait vers les corps humains et allaient s’enfoncer dans la gorge de ces derniers. Plus aucuns ne criait, leurs cordes vocales était broyé par les vomissement qui passait souvent par les fosses nasales.
Mais tous les déchets corporels de ces personnes allaient et tombaient dans la fosse. Ce qui créait comme un gigantesque marmite de cuisine. Une marmite qui contenait comme ingrédients, les productions fécales, urinaires, digestive et parfois même sanguines des vaches à lait qu’était devenu ces personnes.
La fosse était presque remplit à moitié. On pouvait voir à l’intérieur des corps humains s’enfoncer doucement dans le mélange visqueux. Chose qui semblait invraisemblable, le ragoût qui entreposait à l’intérieur de ce trou semblait être en constant mouvement.
Autrement, sur les bordures de la cavité. Se trouvait des grandes dents de fer rouillé pointant un peu dans toutes les directions un peu comme une dentition de requin. Empalés sur ces dents, se trouvaient plusieurs morceaux de chair probablement humaine.
Les gémissements des pendus créaient comme une orchestre religieuse abyssale qui résonnaient d’un écho sourd.
Derrière le trou, se tenait debout, une femme. Celle-ci ne portait qu’un seul accessoire et vêtements. Il s’agissait d’un large masque en cuire orné de long et pointue clou qui entraient et sortaient du masque comme un automatisme. Au centre de se masque, au niveau de la bouche environ se trouvait un tube blanc qui semblait lui servir de moyen de respiration. Le tube étrangement, était connecté derrière sa tête chauve et semblait y être planté. Autrement, elle ne portait aucun vêtements ou sous-vêtements. Contrairement à ses vaches, elle était d’une propreté qui reflétait presque la faible lumière des torches chaudes et suffocantes de la place. Elle avait les bras levé en croix et était adossée au mur du fond. Des clous étaient également plantés dans ses mains tel une crucifixion. Par contre, les stigmates s’arrêtaient là. Ses jambes et ses pieds étaient libre et semblaient se mouvoir de façon extasiante à la limite sexuelle. [...]
